Oh
Colère quand tu nous tiens !
Je te sens, je t’entends,
Oui !
Tu arrives aussi vite qu’un cheval au
galop.
Tu es accompagné d’un souffle violent qui serre la
gorge.
Tu veux m’envahir, me posséder pour cracher ton venin.
Tu veux m’enlacer pour
m’étouffer.
Mais
pourquoi ?
Ne t’aurai-je pas vu
venir ?
Ne t’aurai-je pas
apprivoisé ?
Ne t’aurai-je pas dompté ?
Mais, sais-tu que je n’ai pas besoin de toi pour
exister.
Alors éloigne-TOI …
Car je suis MOI et n’ai pas besoin de TOI !
H.P-K(avril 2017)